Troisième partie
Au fil de mes rencontres, j’ai découvert que la majorité des accueillant·es extrascolaires travaillaient dans des conditions difficiles, souvent précaires. De nombreuses personnes actives dans ce secteur dénoncent le manque de moyens mis à disposition pour exercer leur métier correctement. Un problème structurel contre lequel certain·es acteur·ices de terrain se battent au quotidien, espérant que les instances politiques prennent au sérieux leurs revendications… Heureusement, j’ai eu la chance de visiter des écoles où ça se passe bien et où enfants, accueillant·e·s, parents et professeurs ont l’air de vivre en bonne harmonie.