Léa dessine à partir d’images de presse qui montrent la violence du monde et son actualité. Elle interroge le photojournalisme qui se révèle parfois cruel quand il diffuse des images de façon trop immédiate et trop brute. Que nous apportent ces photographies qui font le tour du monde en une fraction de seconde? Ne nous paralysent-elles pas plus qu’elles ne nous invitent à nous révolter?